Informations sur le vaccin

Dans cette page :

CoVivre offre de nombreuses ressources aux intervenants pour être en mesure de répondre aux questions de la clientèle et des groupes marginalisés par des Webinaires, des articles, des documents de vulgarisation d'information en plusieurs langues, etc.

CoVivre vise à informer, protéger et soutenir les communautés marginalisées durant la pandémie de la COVID-19 dans la région du Grand Montréal.

• Fiches d'information sur la vaccination - CoVivre ^PDF
• Consulter le site du Programme CoVivre

L'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) met à niveau les connaissances des vaccinateurs et des professionnels de la santé sur :

• le développement des vaccins contre la COVID-19
• l'efficacité et la sécurité des vaccins de Moderna et de Pfizer
• les objectifs de la vaccination et la stratégie prévue

afin de les aider à répondre aux questions de leur clientèle et de leur entourage.

C’est officiel, Santé Canada a donné le feu vert à l’utilisation du vaccin de Pfizer/BioNTech, donnant le signal de départ à la plus vaste opération de vaccination jamais menée au pays.

On prévoit que quelque 57 000 Québécois seront vaccinés d’ici le 4 janvier 2021 et 650 000 d’ici le 31 mars 2021.
Le PDG du CIUSSS présente les étapes de la démarche de vaccination :

• La campagne de vaccination contre la COVID-19 présentée aux employés ^PDF

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la vaccination contre la COVID-19, vous pouvez visionner cette courte vidéo de Dre Yun Jen, chef médical, secteur promotion de la santé et prévention dans les parcours de vie de la Direction régionale de santé publique. Dr Jen y résume les dernières informations obtenues jusqu'à présent sur cette vaccination.

Pour le premier trimestre de 2021 (début janvier à la fin mars), le CIUSSS de l'Est-de-l'Île de Montréal recevra le vaccin de Pfizer/BioNTech.

BioNTech/Pfizer

• Afin d’augmenter son efficacité, le vaccin doit être administré en deux doses, dans un intervalle de 21 jours
• La particularité de la livraison et de la conservation de celui-ci aura un impact sur la distribution dans les régions plus éloignées
• Ce vaccin nécessite des installations particulières et du personnel formé pour la manipulation de l’équipement
• Comme plusieurs autres vaccins, des symptômes légers à modérés ont été rapportés à la suite de la vaccination

Moderna

• Ce vaccin doit aussi être administré en deux doses, mais dans un intervalle de 28 jours
• Les aspects de conservation et de livraison de ce vaccin sont moins contraignants d’un point de vue logistique
• Les effets secondaires sont moins importants que ceux du vaccin de Pfizer

D’autres vaccins pourront potentiellement être administrés à partir du 2^e trimestre de 2021, mais, à l’heure actuelle, peu d’informations sont disponibles au sujet de ceux-ci. Pour en savoir plus sur les autres vaccins prometteurs, consultez le site Québec.ca.

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Le registre de vaccination prévoit l'inscription de tous les vaccins administrés au Québec (chaque dose). Il contient un calendrier prévisionnel qui permet d'indiquer aux professionnels si une deuxième dose est requise et à quel moment. Certains vaccins déjà utilisés actuellement exigent une dose de rappel. Une personne ne pourrait pas recevoir une dose de Pfizer et une dose de Moderna.

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Pour les personnes qui ont eu la COVID-19, une seule dose de vaccin est nécessaire.

L’infection permet d’amorcer la réponse du système immunitaire comme le fait une 1re dose de vaccin. La seule dose de vaccin chez une personne qui a eu la COVID-19 après l'infection sert donc d’effet de rappel comme le fait une 2e dose de vaccin.

Mentionnons qu’il n’y a pas de danger à administrer deux doses de vaccin à quelqu’un qui a eu la COVID-19, mais le risque d’avoir des réactions indésirables est plus élevé. De plus, la 2e dose n’apporte aucune protection supplémentaire pour ces personnes.

Deux doses sont nécessaires pour les personnes qui répondent aux critères suivants :

• personne ayant un système immunitaire affaibli;
• personne qui a contracté la COVID-19 dans les jours suivant la vaccination.

Aussi, à défaut de savoir si une personne a contracté la COVID-19, il est préférable qu'elle reçoive ses 2 doses afin d'être assurée d'être immunisée adéquatement.

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Le vaccin de Pfizer doit être conservé à -80°C. Plus de 200 congélateurs de ce type sont utilisés en laboratoires ou en recherche dans le réseau de la santé.

À ce jour, 23 des 65 congélateurs commandés ont été reçus, ce qui est suffisant pour contenir les doses destinées la population du Québec. Il ne faut pas oublier que l’objectif poursuivi n’est pas de garder les vaccins longtemps dans les congélateurs, mais bien de vacciner les gens rapidement.

Les groupes prioritaires seront informés rapidement des endroits où se déroulera leur vaccination. Le premier vaccin qui sera administré est celui de Pfizer et selon les recommandations, il ne pourra être déplacé d’un endroit à un autre. La vaccination se fera donc sur place dans des lieux déterminés, en fonction de la clientèle ciblée.  

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La question de la sécurité vaccinale est cruciale. L’agence fédérale a déterminé que « le vaccin de Pfizer/BioNTech répond aux exigences rigoureuses du ministère en matière d'innocuité, d'efficacité et de qualité pour son utilisation au Canada ».

Les études cliniques permettent de répertorier les principaux effets secondaires des vaccins et de s’assurer que les effets recherchés sont supérieurs aux traitements existants contre le virus. De longue date, le Québec dispose d’un système de surveillance des effets secondaires des vaccins (les manifestations cliniques inhabituelles) et a souvent été un pionnier dans l’évaluation des MCI ou encore d’activités de recherche pour ajuster les programmes de vaccination et assurer leur sécurité. Les travaux ont été amorcés pour ajuster les activités en question à la vaccination COVID-19.

Pour les allergies, Santé Canada affirme que la vaccination (en général) est contre-indiquée chez une personne ayant déjà eu une réaction anaphylactique à la suite de l'administration de ce même vaccin et chez une personne ayant une hypersensibilité établie immédiate ou anaphylactique à l'un des composants du vaccin (à l'exception des personnes allergiques aux œufs) ou de son contenant.
Dans les cas où une hypersensibilité ou une allergie non anaphylactique à un vaccin ou à ses composants est soupçonnée, une enquête est recommandée, ce qui peut exiger d'administrer la vaccination dans un milieu contrôlé. Il est conseillé de consulter un allergologue.

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Vous avez des questions concernant la vaccination contre la COVID-19?

Consultez notre foire aux questions ou appelez la ligne Info-COVID-19 au 514 251-4072 et laissez votre message en spécifiant que vous avez une question concernant le vaccin.