Campagne de recrutement en soins infirmiers 2017
C'est à l'automne 2017 qu'a eu lieu le lancement de notre toute première campagne de recrutement en soins infirmiers d’envergure du CIUSSS-EMTL. Une nouvelle initiative qui a pour objectif d’accroître le nombre de candidatures de qualité pour donner un coup de pouce à nos infirmiers et infirmières. D’une durée de 4 semaines, la campagne était présente uniquement sur les médias sociaux pour atteindre directement notre public cible :
- les infirmières et infirmiers ayant plus de 2 ans d’expérience
- pour travailler dans les secteurs suivants :
- Trajectoire pédiatrique
- Trajectoire des personnes en perte d’autonomie
- Trajectoire des épisodes de soins critiques
- Trajectoire des personnes souffrant de problématiques de santé mentale
Ces secteurs sont présentés par Asma, Inélie, Marie-Élaine, Mylène et Reasmey, les ambassadrices de notre campagne, que vous pouvez découvrir dans les capsules vidéo suivantes réalisées par Avanti Ciné Vidéo, les producteurs de la série De garde 24/7.
Votre rôle
Joignez-vous à Asma, Inélie, Marie-Élaine, Mylène et Reasmey
Dès maintenant, nous avons, nous aussi, la chance de jouer notre rôle d’ambassadeur et d’ambassadrice de notre organisation, de relayeur de notre campagne de recrutement.
Pour ce faire, abonnez-vous à notre page Facebook CIUSSS-EMTL https://www.facebook.com/ciusss.estmtl/ et partager le lien avec vos collègues, amis et proches intéressés par le travail d’infirmières et d’infirmiers au sein de notre organisation.
Pour soumettre votre candidature pour l'une de nos opportunités d'emploi, visitez ce lien.
Inélie Damas, infirmière, C.H.S.L.D. Nicolet
« J’aime travailler avec les autres. C’est un travail gratifiant, c’est un travail noble. »
Le travail que je fais chaque jour auprès des usagers est profondément gratifiant. Dès lors, je conseille sans retenue aux infirmiers et infirmières qui débutent de se diriger vers ce type de poste. J’apprécie le contact humain et j’adore prendre soin des personnes. J’agis avec eux comme s’il s’agissait de mes propres parents ou de mes proches. Je déteste voir quelqu’un souffrir. Si je fais ce métier, c’est réellement par amour des autres. On donne, mais on reçoit également. Les patients nous donnent de l’affection, ils nous encouragent dans notre travail. Il faut être à l’écoute et respecter le rythme de chacun. J’aime travailler avec les autres car c’est un travail très gratifiant, c’est un travail noble.
Asma Akani,
infirmière clinicienne, soins intensifs
de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont
« Ça me rend fière de voir qu’ils vont mieux et qu’ils n’arrêtent pas de te dire merci. Puis que leur famille te dit merci. T’es donc bien une bonne infirmière. Ça te remplit le cœur et tu te dis, j’ai travaillé pour quelque chose finalement. »
Pour exercer le métier d’infirmière dans le contexte des soins intensifs, un environnement où tout bouge rapidement et où tout peut arriver, il faut carburer à l’adrénaline et vouloir être au cœur de l’action. C’est sûr que ce n’est pas monotone aux soins intensifs.
J’aime les imprévus, mais aussi le travail d'équipe. J’y puise une gratification certaine car j'aime comprendre le cheminement du patient, tous les soins qu'il reçoit, l'évolution de son état, et ainsi de suite. Notre présence les rassure. Ce travail me rend fière de voir qu’ils vont mieux et qu’ils me disent « merci » sans cesse. Je trouve motivant d'être responsable de la coordination des soins, de prévenir les complications, de m'assurer de leur bien-être. J'ai l'impression de participer à chaque étape du rétablissement de la personne. Chaque jour est différent, chaque cas est fascinant et unique.
Marie-Élaine Lacroix, infirmière – adjointe, urgence de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal
« J’aime le contact avec les patients. J’aime les écouter. Je me sens privilégiée qu’ils se livrent à moi
alors qu’ils sont des fois au plus bas de leur vie.»
C’est pendant mes stages et mon internat à l’IUSMM que j’ai eu le coup de foudre pour la psychiatrie. C’est réellement une véritable vocation. Ce que j’apprécie à l’Institut, c’est la force de l’esprit de collaboration des psychiatres et de l’équipe clinique avec laquelle j’œuvre pour aider les personnes qui font face à un problème de santé mentale.
Au quotidien, j’accueille les patients, relève leur parcours et les oriente vers les services appropriés. Je trouve très gratifiant d’être le premier contact d’une personne avec le monde, la psychiatrie et de pouvoir avoir un impact positif sur la vie des patients. J’aime qu’ils se livrent à moi. Chaque jour est différent, chaque patient est unique. Nos gestes, nos actions ont un impact concret chez nos patients. Être à l’écoute, ne pas avoir de préjugés, être délicat et faire preuve de perspicacité sont les maîtres mots de ce poste.
Quelle plus grande satisfaction peut-il y avoir que de parvenir à percer la coquille d’une personne agressive ou en résistance pour en faire émerger l’être sensible? De voir quelqu’un qui, à la fin de la journée, me dit « merci d’avoir été là, de m’avoir écouté », ça fait vraiment du bien.
Mylène Cardin-Daneau, assistante-infirmière-chef (AIC), continuum naissance, salle d’accouchement - 7C HMR
« C’est prenant, mais c’est stimulant. Quand on aime l’adrénaline, c’est LE plus beau département. »
J’ai toujours été attirée par le travail à la salle d’accouchement, par les bébés et les femmes enceintes. J’ai réellement trouvé ma vocation. Contrairement à ce que l’on peut croire, travailler ici n’est pas toujours tout rose. Mais lorsqu’on est animé par la passion, l’effort est pleinement gratifiant et les tâches sont infiniment variées. La naissance d’un bébé, c’est quelque chose de beau et d’unique. Les gens mettent toute leur confiance dans nos mains. C’est un moment intime qu’on partage avec eux. Ils nous livrent beaucoup de bonheur et nous sommes chanceux, privilégiés d’être avec eux. Ils nous font rentrer dans leur bulle d’intimité, familiale, en peu de temps. On a un court moment pour créer un lien et accueillir le nouveau-né qui va changer leur vie. Le plus beau moment, c’est quand la patiente nous dit que son accouchement s’est passé comme elle l’aurait souhaité.
J’encourage grandement les infirmières à tenter leur chance de venir exercer au CIUSSS-EMTL, pour autant que celles-ci ne cherchent pas un milieu statique et routinier, mais qu’elles carburent aux challenges et à l’adrénaline.
Reasmey Phan, infirmière au Bloc opératoire à l’Hôpital Santa Cabrini
« Nous, on est comme une tour de contrôle. On s’assure que le décollage se passe bien. »
Mon travail, il est fait de rigueur et de discipline. Je ne peux pas me permettre d’être imprécise car le bon fonctionnement du bloc en dépend. Mes collègues et moi-même sommes comme la tour de contrôle : on s’assure que le décollage se passe bien. Le patient arrive réveillé, nous parle, nous verbalise ses peurs et ensemble, nous faisons une équipe pour régler le problème. Je suis responsable de la coordination et j’assure le suivi de la programmation, du soutien des équipes opératoires, du maintien et de la qualité du matériel. Je me dois d’être exigeante afin d’éviter tout risque de contamination et d’infection. C’est dans ce contexte bien structuré que je me vois utile. Je sens que mes actions ainsi que mon travail contribuent réellement au succès des opérations et, ultimement, au bien-être des patients. De savoir que j’ai aidé quelqu’un est important pour moi, cela me nourrit.